Les mots de la fin

société

Bataclan, plus de dix ans déjà. Une journée de commémoration triste à mourir. A-t-on appris de tout cela ? Non, on n'apprend jamais rien. Il y a l'Ukraine, Gaza, le Soudan. Et toutes ces fusillades qui éclatent à gauche et à droite aux États-Unis et ailleurs. Au lieu de se concerter pour assurer la paix, chacun s'arme de son côté. Je vous le dis, ça ne va pas s'arranger. Et tout comme les Allemands, humiliés après la Première Guerre mondiale, ont bousculé le monde entier avec la Deuxième, les victimes gazaouis, ceux qui ont perdu leur maison, des parents, des amis, ne s'arrêteront pas là. Un peuple humilié peut arriver à de grandes choses en terme de désolation du monde. Il ne faut jamais sous-estimer leur capacité de détruire, de faire mal, de rendre coup pour coup, sans pitié pour les victimes collatérales. Car ce sont eux les victimes, pas les autres. D'autres Bataclan sont à prévoir.

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