Daniel Ducharme

bandesdessinées

Je suis passé à la bibliothèque, histoire de sortir un peu de la maison. Depuis quelques mois, j'ai recommencé à lire des bandes dessinées, un genre littéraire que j'avais négligé ces dernières années. Pourquoi ? Je ne sais pas. Trop occupé à bosser, à m'occuper d'ÉLP éditeur, à mettre du contenu sur mes sites Web.

Lire la suite...

Deux ouvrages en mai seulement : un essai sur Marcel Proust de François Bon, et le tome 4 de La Roue du temps. Depuis des années, François Bon tient un blogue intitulé Le Tiers Livre et ce, depuis plus d'une vingtaine d'années. Son site est riche en contenu, c'est peu de le dire. Infatigable, François Bon œuvre sur plusieurs projets d'écriture (les projets Balzac, Proust, Lovecraft, etc.) et, au milieu de tout ça, il anime des ateliers d'écriture. Si vous vous intéressez à ce gars-là (qui connaît très bien le Québec, par ailleurs), vous aurez de quoi lire pendant des mois… Quant La Roue du temps, je suis pris par l'intrigue et, contre ma volonté, je suis incapable de m'arrêter… Et ce sont de gros bouquins, quatorze en tout, vingt-huit en livres de poche. Inutile de me répéter en vous disant que Robert Jordan bousille toute ma planification littéraire de l'année…

Lire la suite...

Une mois plutôt faste en lectures en cet avril frisquet. La Roue du Temps, encore et toujours… et trois romans québécois, dont le très beau La femme qui fuit, même s'il s'avère peut-être abusif d'appeler ça un roman. Pas de bandes dessinées. Ça ira au mois prochain. Enfin, j'ai tenté de renouer avec Dostoïevski, cet écrivain russe qui a tant bouleversé le début de mon âge adulte.

Lire la suite...

En mars, j'ai enfin terminé le deuxième tome de La Roue du Temps et, bien entendu, j'ai débuté la lecture du tome 3 dont je parlerai le mois prochain. Ce mois-ci, j'ajoute une section bandes dessinées, genre littéraire que j'ai recommencé à fréquenter après plusieurs années d'absence…

Lire la suite...

Chaque jour suffit sa peine. Qu'est-ce que cela veut dire, cette expression ? Sans doute qu'on ne peut pas planifier quoi que ce soit, car personne ne sait ce qui nous attend demain. Cela peut vouloir dire aussi qu'on ne voit pas au-delà du quotidien. L'une ou l'autre de ces interprétations confine l'individu à la résignation, à la tristesse. Tant que je vivrai, je veux planifier, je veux rêver. Bref, je veux faire des projets, unique façon de vivre de l'homme à l'esprit créatif. Et pour Albert Camus, le projet reste aussi le moyen le plus sûr, bien que fragile, pour échapper à l'absurdité de l'existence.

Lire la suite...