Les mots de la fin

Le blogue de Daniel Ducharme

Je viens d'installer ChromeOS Flex sur mon vieux Thinkpad T450s (Lenovo). Une installation d'une simplicité désarmante et, surtout, d'une rapidité stupéfiante. Par ailleurs, ce système, beaucoup plus que sur Linux – du moins pour les distributions comme Ubuntu et celles qui en dérivent (Mint, Zorin, PopOs, etc.) –, a porté un sacré coup de jeunesse à cet appareil quasi moribond. Pour rappel, le T450s date de 2013. Ça fait donc plus de douze ans que je l'utilise au quotidien, comme ordinateur principal, d'abord, puis comme appareil secondaire par la suite. D'aucuns prétendent que l'informatique ne cesse de booster la consommation de produits toujours plus révolutionnaires par leur prétendue nouveauté. Avec cette installation, je fais mentir les statistiques…

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Write.as : établir un lien avec les lecteurs

Mon site statique ne dispose pas d'un plugin permettant aux lecteurs de s'abonner afin qu'ils puissent être tenus au courant de la parution de mes textes par courriel, voire carrément de les lire dans leur messagerie. Alors, que faire pour établir un contact direct avec le lecteur ? Une solution de contournement était à portée de main sans que je m'en rende compte : Write.as. Ainsi, en s'abonnant à mon blogue sur la plateforme minimaliste Write.as, le lecteur s'abonnera du même coup à mon site principal, codé en HTML. Il suffisait d'y penser… Certes, je n'ai pas des milliers de lecteurs, je sais. Mais penser à ceux qui me lisent – même s'ils ne sont qu'une poignée – me motive à écrire, et cela me suffit.

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Plusieurs lectures en cours : Le liseur de Bernhard Schlink, le huitième tome de La roue du temps de Robert Jordan, Biographie de la faim d'Amélie Nothomb, et un ouvrage sur l'hindouisme par Bernard Baudoin. La lecture occupe une place centrale dans ma vie, c'est évident. Je ne saurais l'imaginer sans lecture. D'ailleurs, je n'ai jamais oublié mon passage à Nairobi (Kenya) en février 1990 alors que je n'avais plus de livre à lire… Comme j'étais malheureux ! J'ai parcouru les rues de la ville à la recherche d'une librairie susceptible de vendre des livres en français, mais en vain... Le lendemain, j'ai dû faire un interminable trajet en avion – plus de quinze heures de vol avec des arrêts dans plusieurs aéroports africains, si ma mémoire est bonne – sans rien à me mettre sous les yeux… Aussitôt arrivé à Abidjan, je me suis précipité dans une librairie pour me procurer deux ou trois ouvrages, de gros livres de la collection Bouquins chez Robert Laffont. J'avais une telle soif de me replonger dans la lecture…

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