Lu en février 2025

Pendant ma lecture de La Roue du temps dont j'ai achevé le premier tome – L'Oeil du mondeen janvier, je me suis permis la lecture de deux ouvrages, histoire de faire une pause dans la lecture de cette œuvre immense. La lecture du deuxième tome de La Roue du tempsLa Grande quête – est déjà commencé, bien entendu… et, contre toute attente, je me suis pris dans les mailles de la trame… Je vais donc continuer cette lecture, même si ça bouleverse mes plans. La roue tisse comme elle veut, paraît-il...

Connelly, Michael. À qui sait attendre / traduit de l'anglais par Robert Pépin. Calmann-Lévy, 2025

C'est mon 39e Connelly. Celui-ci met en scène l'inspectrice aux affaires non résolues, Renée Ballard, et la fille de Harry Bosch, Maddie. Il ne s'agit donc pas d'un Mickey Haller, cet avocat auquel on finit pas s'attacher. Il ne s'agit pas non plus du meilleur Connelly, du moins ce n'est pas du même niveau que Sans l'ombre d'un doute paru l'année dernière. Pourquoi ? L'intrigue est là, mais peut-être y en a-t-il trop (au moins trois) Par ailleurs, l'auteur n'approfondit pas suffisamment ses personnages. Cela dit, ça reste du Connelly, donc du bon policier.

Dos Santos, José Rodrigues. Spinoza, l'homme qui a tué Dieu / traduit du portugais par Catherine Leterrier. Bordeaux : Hervé Chopin, 2023

J'avais bien aimé La formule de dieu paru en 2012, mais j'ai moins aimé ce roman dont, je l'avoue, je n'ai pas terminé. Pourquoi ? Sans doute trop didactique, trop prévisible. En tout cas, je n'ai pas été conquis par la trame historique qui sous-tend une intrigue plutôt mince. Rares sont les bons romans historiques, même si le personnage de Spinoza avait tout pour attirer mon attention.


Daniel Ducharme : 2025-03-01 Mots-clés : #lecture #littérature